La philosophie FOH (Facteurs Organisationnels & Humains)

C’est une manière de regarder le monde à partir de l’humain.
Au lieu d’accuser les personnes, on répare l’organisation : règles, coopérations, décisions, temps, outils.

Pourquoi cette philosophie est nécessaire

Dans beaucoup d’institutions, quand ça va mal on cherche « le fautif ».
La philosophie FOH propose l’inverse : comprendre les conditions qui ont rendu l’erreur, l’épuisement ou l’injustice possibles.
On passe d’une logique de blâme à une culture juste : on apprend, on ajuste, on progresse :


Comment on agit (la voie FOH)

VoirComprendreAgirApprendre.
Quatre verbes, quatre réflexes :

C’est la « révolution tranquille » : on transforme sans violence, par l’intelligence collective.


Ce que ça change pour chacun

Exemples très concrets (format « avant / après »)

Principes fondateurs

Formule FOH : Quand un médecin diagnostique une inaptitude, ce n’est pas le salarié qu’il faut interroger en premier, mais le travail lui-même.

Handicap, santé, inclusion : la boussole FOH

La philosophie FOH n’est pas un « sujet à part ». C’est la manière de traiter tous les sujets :

C’est ainsi qu’on évite le TDAH organisationnel (charge morcelée, injonctions contradictoires, objectifs flous) et qu’on redonne du sens.

Notre symbole

La croix de Lorraine (version FOH) : signe discret d’une résistance humaniste.
Elle rappelle que la vraie force d’une organisation est de rester fidèle à la vérité du travail et à la dignité des personnes.

FOH, une philosophie universelle

Née dans les milieux à risques (nucléaire, santé, aérien), la démarche s’applique partout où il y a coopération humaine : écoles, hôpitaux, collectivités, entreprises, associations, familles.
FOH est une grille de lecture plutôt qu’une idéologie : lucidité, responsabilité partagée, prévention, mémoire.

La vérité humaine ne se trouve pas dans la performance, mais dans la justesse des relations.

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